lundi 28 mai 2007

Dans la baie de Naples


C'est aussi cela...

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Marie, cette photo là, pourtant simple, est vraiment superbe. Après ça on comprend mieux Nerval dans son poème El desdichado :
"Dans la nuit du tombeau, toi qui m'as consolé
Rends-moi le Pausilippe et la mer d'Italie"


(nb : quand tu laisses un message sur un blog tu devrais mettre ton adresse complète, pas uniquement via--astrale, sinon les gens ne peuvent pas suivre le lien)

Astrale a dit…

oui, merci, marc! le dégradé de bleu est naturel, pas de retouche!merci aussi pour ton nb, je ne fais pas toujours attention!

Anonyme a dit…

Il est des vues des calanques de Cassis qui ressemblent beaucoup à cette photo.

Nostalgie, tiens.

Mon Sud, déjà si lointain...

Astrale a dit…

Oui, Sidérostat...c'est la même mer!;-)
Le moyen d'aimer une chose est de se dire qu'on pourrait la perdre.
[ Gilbert Keith Chesterton ]...

deligne a dit…

Merveilleux ! Je comprends mieux pourquoi la baie de Mapoli est si célèbre...
J'ai un peu zoomé ta photo Maria et j'ai découvert ceci

Astrale a dit…

L'invisible est réel. Les âmes ont leur monde.
[ Alfred de Vigny ]
;-))

Anonyme a dit…

Un morceau de pain, un peu d'huile d'Olive, de la mozarella, une jolie comme compagnie, une bouteille de Chianti, "La Divine Comédie" de Dante à portée de la main... et de cette hauteur regarder le ciel se fondre dans la mer... il y a là de quoi élever un homme aux plus hautes vertus que la terre ait accouché...

@)>-->--->---

Astrale a dit…

tout un programme.... le chianti, c'est un bon vin, mais le vino bianco d'orvietto est encore meilleur. A boire en toute modération...

Anonyme a dit…

Bonjour Astrale,

Que ca doit etre bon de passer son dimanche dans cette baie...! En te laissant choisir le vin lol

Bon dimanche, Christophe.

HS : j ai repondu a ton commentaire d hier soir.

Astrale a dit…

Merci Christophepb, j'ai vu les liens. Très instructif!! à plus!

Anonyme a dit…

Bonjour Astrale,
Merci de ta visite.
La photo est belle, ça fait envie quand on est au milieu de murs de béton.
Bravo à Scheiro attentif, toujours, aux détails !