lundi 26 mai 2008

Plaxmoll

Savez vous ce qu'est le plaxmoll? moi, cela fait très longtemps que je connais ça. Genre de caoutchouc très souple, le ou la? plaxmoll sert à fabriquer des balles très rebondissantes...voilà ce qui m'est venu à l'esprit alors que je voulais écrire un texte sur le stress; comment gérer ou reconnaitre le stress, comment l'apprivoiser, en détourner les dégâts sur le coprs ou sur l'esprit. Existe-t-il des exercices permettant de le mettre à bonne distance?
Ce soir, j'ai tenté la position de l'arbre, des étirements, un peu de jogging, du step, et pour finir une bonne douche. Je n'avais plus de temps pour la peinture.
leçon numéro 1: poser la question de ce qui alimente l'anxiété...pour la réponse, s'armer de patience...ce n'est pas mon fort, encore que cela dépend des circonstances. En effet, attendre une naissance par exemple, ça "forme" la patience; l'obstétrique, cela veut juste dire "se tenir au devant de"...et attendre.
Vous me suivez?
demain, je vous parle du stress(leçon numéro 2) et de mon expérience sophrologique.
Pour la plaxmoll, vous allez finir par comprendre, à moins que ce ne soit déjà fait!
Bien à vous

dimanche 25 mai 2008

jeudi 22 mai 2008

le têtes à claques....

merci à Tizel d'avoir mis en lien ces fameuses marionnettes canadiennes , que mon cher ami québécois, Michel, m'avait fait découvrir il y a quelque temps...

E-crou-lée!!!

dialogue...

Le blog serait-il d'une certaine façon une forme de dialogue, selon la méthode dite "maïeutique", où une question, sans toujours trouver de réponse, est posée de manière aporétique, ce qui rend parfois la communication déconcertante?
La maïeutique consiste à accoucher l'esprit...le blogging devient une discussion avec soi-même (là, où je m'affirme, où je mets des mots et donc je verbalise) et une inter-action avec les autres pour "accoucher" d'une vérité dont chacun est porteur mais que chacun ignore s'il ne fait appel au dialogue pour éclairer la question soumise à la discussion.
La question de ce soir: la force n'a -t-elle pas pour corolaire la fragilité?

Bien à vous.

mardi 20 mai 2008

désir...


Quelle chose curieuse que de se confier à son ordinateur, comme une page blanche ouverte sur le cœur, l'esprit. Les doutes nous assaillent souvent, à quoi bon ce journal où chacun exprime ce que bon lui semble. Nous savons être lus...sorte d'exhibitionnisme? nous donnons à montrer, un peu de nous, quelques facettes, qui n'est pas la totalité. Dans quel but?
J'ai envie de partager, simplement. Si l'on considère que l'Homme est individualiste, qu'il se moque de l'Autre comme de sa première paire de chaussette, alors c'est vrai, il faut arrêter ça. Chose vaine que de vouloir communiquer.

Pour l'instant, je continue. Car je ne suis pas une désespérée. Inutile de chercher un sens inconscient à ce que je dis. C'est assez limpide, je pèse mes mots.

Pas désespérée ne veut pas dire simpliste, voire simplette, ni insouciante. Mon insouciance, je l'ai perdue en même temps que mon fils, alors petit enfant, il y a un nombre d'années incalculable, tant le temps dans ces histoires, a du mal à prendre ses marques.

C'est d"écouter Barber qui me met dans cet état? je ne sais pas.
...Un drôle de sentiment m'envahit.

J'ai repensé à "Mort à Venise" ce matin, ce magnifique film de Luchino Visconti, tiré d'un roman de Thomas Mann, où le désir se suspend dans la contemplation ; autant dire qu'Aschenbach, sur le point de mourir ne désire rien tant que son désir lui-même. La contemplation devient son ultime plaisir avant de céder à la mort.

On y trouve ça: l'indifférence générale, l'isolement, le désir et aussi la fuite devant l'idée de la mort, la fascination, la recherche de la beauté...

Mann disait dans "Sur le mariage": « Qui a contemplé de ses yeux la beauté est déjà voué à la mort. »

Voilà quelques bribes de mes élucubrations matinales, avant d'aller à la rencontre de l'Autre, des Autres..

Pas de crainte, je vais bien. Je suis juste lucide.(raisonnablement)(clin d'oeil à Anaximandre..., great philosophe, que la notoriété de Socrate à plongé dans l'inconnu;-)

Bien à vous.

lundi 19 mai 2008

dimanche 18 mai 2008

gravure...


Voici une des gravures qui m'a interpelée, que j'ai soigneusement "empreintée" à mon ami Djaipi, dont le travail bloggesque mérite un détour!! Non, la terre n'est pas plate...elle est bleue, elle est belle...

Z'HAINE...Z'AMOUR



Ciel d'orage...


Adam et Eve furent punis d'être végétariens. Ils auraient dû manger le serpent.
[ Robert Sabatier ]

Comme par-ci par-là, "on"(façon générique de parler des blogfriends) parle de moi pour dire que ma "zen"-attitude dérange, voir agace fortement, je tiens à dire que je sais aussi me mettre en colère, faire la gueule, dire les quatre vérités, voir même les cinq s'il le faut.
1/ je ne suis pas raisonnable, dans le sens où je n'ai pas peur.
2/l'énergie que vous mettez tous à commenter pour simplement vous bouffer le nez (ou vous encenser, c'est idem) me ronge.
3/ce sont les plus gênés qui s'en vont(aphorisme primaire mais toujours d'actualité)
4/je préfère me tourner vers un ciel serein, j'aime la paix, l'intelligence du coeur
5/....Là où il y a de la Z'Haine, il n'y a pas de plaisir

Oui, je préfère aimer. J'aime aimer, j'aime.POINT!

Les commentaires ne seront pas censurés, allez, un peu de courage, merde!

lundi 12 mai 2008

comme tout bon touriste...

Je me suis rapporté un p'tit souvenir...en bois de thuyas et de citronnier...la partie semble mal engagée, j'ai les blancs...ben c'est moi qui ai gagné! na!



Le jeu : c'est comme la nature, y'a rien de mieux...si, la musique peut être...

vendredi 9 mai 2008

Marrakech...

Comme il est dur d'"atterrir"....je suis un peu débordée en ce moment, mais je ne vous oublie pas, je vais même vous lire tous, surprise de ce qui se passe parfois...si je ne poste pas, c'est simplement que les mots me viennent difficilement, comme si j'étais en période de latence...
la visite de Marrakech m'a enchantée, les contrastes sont effarants, mais je reviens un peu amère...la grande pauvreté côtoie des richesses incroyables...
je fais une pause, là, mais je reviendrai. ;-)