Je me suis rapporté un p'tit souvenir...en bois de thuyas et de citronnier...la partie semble mal engagée, j'ai les blancs...ben c'est moi qui ai gagné! na!
Le jeu : c'est comme la nature, y'a rien de mieux...si, la musique peut être...
ça n'a rien à voir mais je sais que Flybird aime passer par ici, et comme elle vient d'écraser son nouveau blog, je voulais quand même lui adresser un petit mot. Je me permets de le faire ici parce que chez Pépère, il serait écrasé illico. Ceci dit, je pense que tu seras d'accord avec moi sur le contenu, Astrale, non ? N'est-ce pas avec d'autres mots ce que tu m'écrivais ailleurs ?
Alors voilà, au risque de me faire haïr un peu plus (de toute façon, y'a un moment, on arrête de compter...), MESSAGE PERSO POUR FLYBIRD :
Yo, sister !
Ton blog m'a explosé au visage juste au moment où je postais mon commentaire, ce qui est un manque de courtoisie assez manifeste.
Ce que j'y disais ? En substance, ceci :
Ne te laisse pas avoir, Fly. L'écriture, c'est l'expression de "soi". Alors ne te laisse pas aller à croire que quelqu'un d'autre, mieux que toi, saurait ce qu'est cette expression de "toi" et comment elle devrait (ou non) se faire. Si quelqu'un te demande de la littérature, réponds-lui de l'écrire lui-même, sa littérature, si cela ne lui convient pas. Ên écriture comme dans tous les autres domaines de la vie, laisse les autres être "eux", et accorde-toi le droit d'être "toi". Et si on ne te le laisse pas, ce droit, au nom de je-ne-sais-quelle (que trop ?) valeurs fantasmatiques, prends-en acte comme tu le fais, mais ne dévie pas. Le "mieux" écrire, il n'y a que toi qui le connait, parce qu'il n'y a que toi qui est toi.
Sauf, évidemment, dès lors que tu as la prétention de te rattacher à une école artistique ou une autre, mais il ne me semblait pas que ça ait été le cas.
Ne te laisse pas avoir.
L'écriture, ce n'est pas sérieux, Fly. Parce que le langage, c'est soit un outil, soit un jouet, que jouer avec, c'est un jeu et qu'un jeu, à partir du moment où tu le prends au sérieux, ne cesse pas d'en être un. Il cesse juste d'en avoir l'apparence...
Marc, je ne me rappelle plus!dsl! tiens ça fait un moment que je ne suis pas allée sur ton blog, va falloir remédier à cela. A bientôt! Djaipi: les trois synonymes...hm, pourquoi pas...en tout cas, ils sont essentiels...ceci dit la musique n'a pas les débordements de la nature qui fait des ravages comme en ce moment! Anonymus: la manette, ben si! virtuelle, entre les deux oreilles;-)
Hello Marie, oui oui viens sur mon blog ! J'y ai posté un excellent texte où Voltaire parle de ... Adolf Hitler. Etonnant non ?
@ Anonyme : ce qui tu écris à Flybird est valable mais à une restriction près, c'est si on va explicitement demander soi-même une critique. Et là je ne saurais que trop (ou trop peu ?) recommander l'excellent "Art poétique" de Nicolas Boileau. Il y a un passage où il parle des vrais amis littéraires.
Je voulais dire, à nouveau, même problème : on demande une critique, d'accord, mais si on ne demande pas "par rapport à quoi", dans quelle grille de référence, eh bien la demande devrait rester lettre morte parce qu'elle n'est pas formulée de manière à ce qui que ce soit au fait des tenants et aboutiisants de l'acte d'écriture puisse s'aviser de donner une réponse. Parce que suivant si c'est une critique "dans le contexte Romantisme" ou "dans le contexte Naturaliste", un même texte pourra être encensé ou piétiné allègrement, pour des qualités identiques et des défauts idoines.
Si on ne précise pas, il ne reste que deux alternatives :
- Soit on produit une critique subjective basée sur une appréciation personnelle plus ou moins raisonnée (en apparence), revendiquée comme telle.
- Soit on produit une critique érudite, auquel cas on sous-entend implicitement qu'il existe un absolu d'écriture universel (un "super-contexte", englobant tous les contextes littéraires) et que l'on en détient les clés.
Ceci dit, il me semble n'avoir lu à aucun endroit Flybird s'esbaudir "ça y est, les gens, j'ai fait de l'Aaaarttt" (c'est moi sur mon blog, ça, ne confondez pas). Ecrire sans vouloir faire de l'art, une hérésie ?
Non anonyme, je revendique le droit absolu du lecteur à dire ce qu'il pense sans restriction, mais dans le respect des personnes bien sûr. Il faut réhabiliter le lecteur, c'est une mission urgente !
Tu écris : "La critique : qui et selon quels critères ?"
Mais c'est très simple, si tu vas demander la critique d'une lectrice que tu sais être exigente, eh bien tu auras une critique exigente, c'est aussi simple que ça.
Bon les conflits s'éclairent si on sait placer les personnes dans les bonnes cases psychologiques : un petit essai (et l'on comprendra mieux les critères de chacun) :
Exigent, oui, mais par rapport à quoi (bon sang, voilà que je recommence ?).
Moi aussi, je suis exigeant (sans doute plus que bien d'autres. Bon sang, j'ai écrit 750 pages en phrases paires ! Et segments de phrases à l'intérieur itou !), moi aussi, je suis puriste (sans doute plus que bien d'autres) mais ce n'est ni la même exigence, ni le même purisme que celui des autres, voilà !
Maintenant, soit il existe un absolu auquel cas il existe UNE vérité de l'exigence et du purisme, et n'ont raison que ceux qui l'ont trouvée (contre : tort tous les autres), soit il n'y a pas d'absolu et dès lors, faire comme s'il y en avait un et appréhender les choses dans ce sens devient... Criticable ! Surtout quand ça aboutità une fermeture de blog.
Maintenant, on m'a très copieusement traité de fieffé prétentieux qui suinte, mais il n'empêche que je n'ai jamais posé qu'il n'y avait un Absolu et que je le détenais, moi. C'est déjà pas mal...
Evidemment que oui. Tu n'entends pas mes clochettes ?
Un lecteur a le droit de dire ce qu'il pense de ce qu'il vient de lire, c'est évident, c'est même son droit le plus strict. C'est quand il commence à confondre "ce qu'il pense" avec "la réalité", et à poser les choses comme telle que ce n'est plus du tout du tout un droit.
Le lecteur, il peut exprimer ce qu'il ressent, point à la ligne. Parce qu'il est rigolo, le lecteur, s'il croit pouvoir critiquer un texte qu'il n'a pas lu... Parce que ça aussi, c'est une base qu'on apprend très tôt : impossible de connaître les textes, vu que nous sommes déjà un filtre. Quelqu'un qui critique ne critique donc pas non plus un absolu mais "sa lecture du texte"... Et c'est très loin d'être la même chose.
Les joueurs d'échecs sont de fieffés prétentieux qui ne croient pas à l'absolu d'un échecs et mat, et cela les conduit à l'autosatisfaction la plus crasse, c'est à ça qu'on les reconnaît.
Ma mère m'avait acheté le même échiquier, Astrale, ou du moins un échiquier fait dans du thuyas et du citronnier comme celui-ci. Malheureusement avec le temps le bois qui n'était pas suffisamment sec à travaillé et le plateau s'est fendu, les cases se sont décollées, etc... De plus et là, l'écolo Marco va tendre l'oreille, les artisans massacrent ce qui reste de thuyas - de très beaux arbres - alors qu'une bonne partie de cette essence part en fumée parce que c'est aussi un excellent bois de brûlage qui se consume très lentement et donc très prisé pour le cuisine et le chauffage. C'est triste de savoir que ces beaux arbres en train de disparaitre. Et ça ne repousse pas aussi vite qu'un blog :->
Les pauvres feront comme ils ont toujours fait, un moment ou l'autre, ils se révolteront contre les privilèges et l'injustice, parce qu'il faut bien manger, survivre...mais quand et comment...?
Tu as tout à fait raison Marie ! Si les "pauvres" attendent que "les riches" se mettent à être suffisamment équitables, ils attendront longtemps. C'est d'ailleurs tout le sens des luttes syndicales, sociales, etc, c'est qu'il faut, le plus souvent gagner soi même ses propres droits.
Et c'est pourquoi Marie je ne peux pas être tout à fait d'accord avec toi quand tu parles des terroristes palestiniens et du "terrorisme" aveugle qui n'a "aucune légitimité". Un acte terroriste est toujours aveugle et injuste du point de vue de la victime innocente mais parfois le terrorisme n'est que l'arme des "pauvres". Quand un état lance des bombes, y compris des obus à sous-munition, il y a toujours un discours de légitimation qui va avec et qui fait accepter la chose à l'opinion, mais penses-tu que du point de vue des 37 enfants tués à Cana en juillet 2006 le terrorisme d'état soit acceptable ? Nietzsche paraît-il disait : L'Etat est le plus froid de tous les monstres froids.
Bien sûr, Marc, ce qui est regrettable, c'est la violence et la guerre...et quand je dis regrettable, c'est un mot bien léger. Gardons un peu d'optimisme...la nature est violente aussi, nous ne contrôlons pas tout, mais cette nature, par bien des aspects, nous l'adorons. Moi, je continue à aimer l'Homme, a espérer en son intelligence, même quand il se trompe. je reste fondamentalement contre la peine de mort, par exemple. Bon dimanche Marc!
28 commentaires:
Ben à mon avis si c'est aux blancs de jouer c'est nirmal que tu gagnes :
1/ b6 - Te3
2/ b7 - Te8
3/ Ta8
cqfd
si c'est au noir, là tu devrais perdre
1/ ... - Te3
2/ b6 - Te8
ensuite la tour va se mettre en b8 bloquer le pion et tu ne pourras rien faire contre la déferlante noire à l'aile roi.
Alors Marie dans la position du haut c'était à qui de jouer ?
Les 3 ne sont-ils pas synonymes?
bises
On la branche où, la manette ?
(Quoi ? C'est pas censé être un jeu ?)
ça n'a rien à voir mais je sais que Flybird aime passer par ici, et comme elle vient d'écraser son nouveau blog, je voulais quand même lui adresser un petit mot. Je me permets de le faire ici parce que chez Pépère, il serait écrasé illico. Ceci dit, je pense que tu seras d'accord avec moi sur le contenu, Astrale, non ? N'est-ce pas avec d'autres mots ce que tu m'écrivais ailleurs ?
Alors voilà, au risque de me faire haïr un peu plus (de toute façon, y'a un moment, on arrête de compter...), MESSAGE PERSO POUR FLYBIRD :
Yo, sister !
Ton blog m'a explosé au visage juste au moment où je postais mon commentaire, ce qui est un manque de courtoisie assez manifeste.
Ce que j'y disais ? En substance, ceci :
Ne te laisse pas avoir, Fly. L'écriture, c'est l'expression de "soi". Alors ne te laisse pas aller à croire que quelqu'un d'autre, mieux que toi, saurait ce qu'est cette expression de "toi" et comment elle devrait (ou non) se faire. Si quelqu'un te demande de la littérature, réponds-lui de l'écrire lui-même, sa littérature, si cela ne lui convient pas. Ên écriture comme dans tous les autres domaines de la vie, laisse les autres être "eux", et accorde-toi le droit d'être "toi". Et si on ne te le laisse pas, ce droit, au nom de je-ne-sais-quelle (que trop ?) valeurs fantasmatiques, prends-en acte comme tu le fais, mais ne dévie pas. Le "mieux" écrire, il n'y a que toi qui le connait, parce qu'il n'y a que toi qui est toi.
Sauf, évidemment, dès lors que tu as la prétention de te rattacher à une école artistique ou une autre, mais il ne me semblait pas que ça ait été le cas.
Ne te laisse pas avoir.
L'écriture, ce n'est pas sérieux, Fly. Parce que le langage, c'est soit un outil, soit un jouet, que jouer avec, c'est un jeu et qu'un jeu, à partir du moment où tu le prends au sérieux, ne cesse pas d'en être un. Il cesse juste d'en avoir l'apparence...
Cordialement !
Marc, je ne me rappelle plus!dsl! tiens ça fait un moment que je ne suis pas allée sur ton blog, va falloir remédier à cela. A bientôt!
Djaipi: les trois synonymes...hm, pourquoi pas...en tout cas, ils sont essentiels...ceci dit la musique n'a pas les débordements de la nature qui fait des ravages comme en ce moment!
Anonymus: la manette, ben si! virtuelle, entre les deux oreilles;-)
Hello Marie, oui oui viens sur mon blog ! J'y ai posté un excellent texte où Voltaire parle de ... Adolf Hitler. Etonnant non ?
@ Anonyme : ce qui tu écris à Flybird est valable mais à une restriction près, c'est si on va explicitement demander soi-même une critique. Et là je ne saurais que trop (ou trop peu ?) recommander l'excellent "Art poétique" de Nicolas Boileau. Il y a un passage où il parle des vrais amis littéraires.
Très bonne journée !
Moi aussi Marie quand jétais allé au Brésil, en bon touriste ( :-DD ) j'avais rapporté un jeux d'échecs en ... pierre à savon !
Marc,
La critique : qui et selon quels critères ?
Oh pardon, mon doit à ripé !
Je voulais dire, à nouveau, même problème : on demande une critique, d'accord, mais si on ne demande pas "par rapport à quoi", dans quelle grille de référence, eh bien la demande devrait rester lettre morte parce qu'elle n'est pas formulée de manière à ce qui que ce soit au fait des tenants et aboutiisants de l'acte d'écriture puisse s'aviser de donner une réponse. Parce que suivant si c'est une critique "dans le contexte Romantisme" ou "dans le contexte Naturaliste", un même texte pourra être encensé ou piétiné allègrement, pour des qualités identiques et des défauts idoines.
Si on ne précise pas, il ne reste que deux alternatives :
- Soit on produit une critique subjective basée sur une appréciation personnelle plus ou moins raisonnée (en apparence), revendiquée comme telle.
- Soit on produit une critique érudite, auquel cas on sous-entend implicitement qu'il existe un absolu d'écriture universel (un "super-contexte", englobant tous les contextes littéraires) et que l'on en détient les clés.
Ceci dit, il me semble n'avoir lu à aucun endroit Flybird s'esbaudir "ça y est, les gens, j'ai fait de l'Aaaarttt" (c'est moi sur mon blog, ça, ne confondez pas). Ecrire sans vouloir faire de l'art, une hérésie ?
ça reste encore à prouver.
Je maintiens aussi que "lire", même beaucoup, n'autorise pas à "critiquer"...
"Produire" d'abord serait une condition siné-qua-non (des gémeaux, spéciale dédicace) indispensable, mais ce n'est que mon point de vue.
Bon, et au fait, je vous ai dit ailleurs ce que je pensais du deuxième tiret !
Non anonyme, je revendique le droit absolu du lecteur à dire ce qu'il pense sans restriction, mais dans le respect des personnes bien sûr.
Il faut réhabiliter le lecteur, c'est une mission urgente !
Tu écris :
"La critique : qui et selon quels critères ?"
Mais c'est très simple, si tu vas demander la critique d'une lectrice que tu sais être exigente, eh bien tu auras une critique exigente, c'est aussi simple que ça.
Bon les conflits s'éclairent si on sait placer les personnes dans les bonnes cases psychologiques : un petit essai (et l'on comprendra mieux les critères de chacun) :
Albertine : puriste
Anonyme : sentimental
Corto : pragmatique
Flybird : sensible
Marc : bouffon
Marie : raisonnable
Scheiro : tueur
(on n'est jamais mieux servi que par soi-même :-DDD)
Exigent, oui, mais par rapport à quoi (bon sang, voilà que je recommence ?).
Moi aussi, je suis exigeant (sans doute plus que bien d'autres. Bon sang, j'ai écrit 750 pages en phrases paires ! Et segments de phrases à l'intérieur itou !), moi aussi, je suis puriste (sans doute plus que bien d'autres) mais ce n'est ni la même exigence, ni le même purisme que celui des autres, voilà !
Maintenant, soit il existe un absolu auquel cas il existe UNE vérité de l'exigence et du purisme, et n'ont raison que ceux qui l'ont trouvée (contre : tort tous les autres), soit il n'y a pas d'absolu et dès lors, faire comme s'il y en avait un et appréhender les choses dans ce sens devient... Criticable ! Surtout quand ça aboutità une fermeture de blog.
Maintenant, on m'a très copieusement traité de fieffé prétentieux qui suinte, mais il n'empêche que je n'ai jamais posé qu'il n'y avait un Absolu et que je le détenais, moi. C'est déjà pas mal...
(Pfff, j'dois être trop sentimental).
Anonyme, tu es jaloux là car je me suis attribué la catégorie bouffon, c'est ça ?
Evidemment que oui. Tu n'entends pas mes clochettes ?
Un lecteur a le droit de dire ce qu'il pense de ce qu'il vient de lire, c'est évident, c'est même son droit le plus strict. C'est quand il commence à confondre "ce qu'il pense" avec "la réalité", et à poser les choses comme telle que ce n'est plus du tout du tout un droit.
Le lecteur, il peut exprimer ce qu'il ressent, point à la ligne. Parce qu'il est rigolo, le lecteur, s'il croit pouvoir critiquer un texte qu'il n'a pas lu... Parce que ça aussi, c'est une base qu'on apprend très tôt : impossible de connaître les textes, vu que nous sommes déjà un filtre. Quelqu'un qui critique ne critique donc pas non plus un absolu mais "sa lecture du texte"... Et c'est très loin d'être la même chose.
Parce que qui lui dit que sa lecture est la bonne ?
Ben lui.
Tu l'as dit, on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même !
C'est ça l'avantage des échecs, rien de tel qu'un petit "échec et mat" pour mettre tout le monde d'accord.
Ah et c'est même pas vrai, je les connais les joueurs d'échecs, souvent quand ils ont perdu, ils se mettent à dire :
C'est dommage, ma position était vraiment avantageuse, si je n'avais pas commis cette grosse bévue, c'est sûr j'aurais gagné !
On la branche où, la manette ?
aphorisme :
Les joueurs d'échecs sont de fieffés prétentieux qui ne croient pas à l'absolu d'un échecs et mat, et cela les conduit à l'autosatisfaction la plus crasse, c'est à ça qu'on les reconnaît.
Ma mère m'avait acheté le même échiquier, Astrale, ou du moins un échiquier fait dans du thuyas et du citronnier comme celui-ci. Malheureusement avec le temps le bois qui n'était pas suffisamment sec à travaillé et le plateau s'est fendu, les cases se sont décollées, etc...
De plus et là, l'écolo Marco va tendre l'oreille, les artisans massacrent ce qui reste de thuyas - de très beaux arbres - alors qu'une bonne partie de cette essence part en fumée parce que c'est aussi un excellent bois de brûlage qui se consume très lentement et donc très prisé pour le cuisine et le chauffage. C'est triste de savoir que ces beaux arbres en train de disparaitre. Et ça ne repousse pas aussi vite qu'un blog :->
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C'est rigolo l'incipit de Scheiro :
"Ma mère m'avait acheté le même échiquier"
Bobby Fischer lui avait écrit :
Un jour ma soeur m'a acheté un jeu d'échecs.
Pour les thuyas, ben m* alors, on même plus compter sur les pauvres alors, mais où va-t-on ?
C'est vrai ça d'ailleurs, les pauvres sont [vraiment] dégueulasses
Les pauvres feront comme ils ont toujours fait, un moment ou l'autre, ils se révolteront contre les privilèges et l'injustice, parce qu'il faut bien manger, survivre...mais quand et comment...?
Tu as tout à fait raison Marie !
Si les "pauvres" attendent que "les riches" se mettent à être suffisamment équitables, ils attendront longtemps.
C'est d'ailleurs tout le sens des luttes syndicales, sociales, etc, c'est qu'il faut, le plus souvent gagner soi même ses propres droits.
Et c'est pourquoi Marie je ne peux pas être tout à fait d'accord avec toi quand tu parles des terroristes palestiniens et du "terrorisme" aveugle qui n'a "aucune légitimité".
Un acte terroriste est toujours aveugle et injuste du point de vue de la victime innocente mais parfois le terrorisme n'est que l'arme des "pauvres". Quand un état lance des bombes, y compris des obus à sous-munition, il y a toujours un discours de légitimation qui va avec et qui fait accepter la chose à l'opinion, mais penses-tu que du point de vue des 37 enfants tués à Cana en juillet 2006 le terrorisme d'état soit acceptable ?
Nietzsche paraît-il disait : L'Etat est le plus froid de tous les monstres froids.
heu détail important, je ne voulait pas écrire : "terrorisme" aveugle
mais : terrorisme "aveugle"
Bien sûr, Marc, ce qui est regrettable, c'est la violence et la guerre...et quand je dis regrettable, c'est un mot bien léger.
Gardons un peu d'optimisme...la nature est violente aussi, nous ne contrôlons pas tout, mais cette nature, par bien des aspects, nous l'adorons. Moi, je continue à aimer l'Homme, a espérer en son intelligence, même quand il se trompe.
je reste fondamentalement contre la peine de mort, par exemple.
Bon dimanche Marc!
Bon dimanche Marie :-)
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