C'est vrai Astrale W.G. est d'origine polonaise mais il avait une 20aines d'années lorsqu'il s'est embarqué sur un bateau pour faire un repportage sur l'Argentine pour le compte d'un journal polonnais. Mais arrivé en Argentine en 1939, il finira par y rester 25 ans suite l'invasion de la Pologne par l'Allemagne nazie, qui le dissuade de rentrer en Europe.
Gombrowicz ne cesse de répéter que l'art n'est véritable que lorsqu'il est à la lisière de la vie et de la réalité, et que cette vie elle-même n'a de signification que si elle est stylisée. La vraie vie c'est le style. Et l'univers que l'on décrit est le même que le roman que l'on vit. Le serpent finit par se mordre la queue : au commencement comme à la fin, il y a deux limites arbitraires qui se posent pour exister et pour nous faire partager cette existence : moi et moi.
4 commentaires:
L'Agentine, c'est pour moi, en plus du tango, Ernesto Sábato, Adolfo Bioy Caseres, Luis Borges et Witold Gombrowicz ;-)
Je file voir qui ils sont!
L'intrus, c'est grombrowicz qui est polonais!
merci de me les faire connaître, Scheiro.
C'est vrai Astrale W.G. est d'origine polonaise mais il avait une 20aines d'années lorsqu'il s'est embarqué sur un bateau pour faire un repportage sur l'Argentine pour le compte d'un journal polonnais. Mais arrivé en Argentine en 1939, il finira par y rester 25 ans suite l'invasion de la Pologne par l'Allemagne nazie, qui le dissuade de rentrer en Europe.
Gombrowicz ne cesse de répéter que l'art n'est véritable que lorsqu'il est à la lisière de la vie et de la réalité, et que cette vie elle-même n'a de signification que si elle est stylisée. La vraie vie c'est le style. Et l'univers que l'on décrit est le même que le roman que l'on vit. Le serpent finit par se mordre la queue : au commencement comme à la fin, il y a deux limites arbitraires qui se posent pour exister et pour nous faire partager cette existence : moi et moi.
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