Laissez aller son geste, son coeur, sa voix,
entendre le sourire des nuages
s’ouvrir à la mélodie de la beauté
aimer
poser le tumulte qui gronde,
sans égoïsme,
de soi
apercevoir la douce lumière
le bijou précieux
dans le silence
à l’ombre de son ombre
sans ressentiment,
ne rien attendre
et vivre vraiment,
là, maintenant
....
vivre
...
4 commentaires:
Vivre.
Qu'est-ce que t'en sais, toi ? Vil faquin !
Un texte vraiment très réussi, qu'on rêverait plus long, si seulement on osait !
Toujours la même histoire : plus long, plus long... C'est une manie !
merci beaucoup L.!
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